vendredi 7 juillet 2017

Extrait de JERUSALEM LE DERNIER REMPART de Hubert Zakine

JERUSALEM CAPITALE D’ISRAEL
Alerter le monde qui se prétend libre, prendre le problème à bras le corps, ne pas renoncer à JERUSALEM, la ville symbole, capitale du seul pays du Moyen-Orient où règne la démocratie. Parler sans sacrifier à la sacro-sainte langue de bois qui paralyse et emprisonne toute résistance occidentale à la décadence programmée par l’Islam, cet Islam fanatique qui bafoue la vie en commettant un nombre incalculable de méfaits à travers la planète sans que personne n’ose émettre la moindre réserve. Cela laisse pantois un homme comme moi, judéo-arabe par mon ascendance, occidental par ma naissance dans une Algérie française, ni meilleur ni pire qu’un autre. Ni plus raciste, ni moins angélique, ni plus intelligent, ni moins patriote. Un homme qui arrive à la croisée des chemins, qui s’approche à grands pas de la vieillesse avec le sentiment de ne pas avoir pris le bon wagon de la défense naturelle de ses enfants et de ses petits enfants face à la déferlante islamique.
Voila qu’on se trouve devant une composante du monde, l’Islam, qui veut imposer sa loi au reste de l’humanité. Un reste de l’humanité léthargique qui feint de juger ce danger avec circonspection. Que faut-il de plus que ce long chapelet d’attentats, de décapitations, d’enlèvements, de barbarie de tous genres, de guerres dans les pays islamiques. Il me faudrait une journée entière à énumérer les meurtres commis au nom de l’Islam fanatique et les pays qui soutiennent ces nations sanguinaires. Ce que je vois, moi homme occidental, ni apôtre d’une solution finale anti-islam, ni complice d’un regard bienveillant sur ces régimes dictatoriaux, pourquoi d’autres occidentaux, plus importants que moi, n’alarment-ils pas les consciences de pays civilisés avant qu’il ne soit trop tard. Ai-je un don de double vue pour voir ce qui devrait sauter aux yeux du commun des mortels ? C’est bien beau de faire des ronds de jambes devant l’infâme capitulation d’un monde occidental qui a sa propre croyance et sa propre histoire ! Minimiser la sauvagerie d’un monde barbare qui mise sur la faiblesse de l’occident et sur le ventre de ses femmes pour lever une armée qui submergera la planète toute entière, cela n’est plus de mise.
N’est-il pas temps, messieurs les occidentaux, d’ouvrir les yeux et de prendre les mesures qui s’imposent avant que les barbares ne descendent dans les rues. Ce n’est pas se livrer au plus stupide racisme, cette denrée si courue de nos jours que les islamistes déploient pour stigmatiser les défenseurs de l’occident, que de dire des vérités premières. Faut-il se livrer pieds et poings liés à cette macabre danse de la mort jouée par les virtuoses du fanatisme islamique sous prétexte que le politiquement correct a droit de cité dans nos rues ? Si ces gens là y voient un quelconque racisme, c’est que les mots sont vidés de leur substance car on ne peut parler de racisme face à la déferlante venue des pays arabes et qui poursuit sa progression jusque sous nos fenêtres. Et si l’on doit évoquer un racisme, parlons d’un racisme islamique qui refuse toute tentative d’un dialogue avec les dépositaires d’autres religions. Dire des vérités sur le danger que fait courir cette lecture de l’islam dans nos démocraties est non seulement un acte militant mais également une démarche de salubrité publique. Dire que les nations civilisées ont le droit et le devoir de faire la police chez elles pour le bien-être de leurs peuples ne reléve pas d’un manichéisme de circonstance mais d’une volonté inébranlable de donner un signe fort à l’immigration islamiste. Que cette immigration soit trop ou pas assez nombreuse ne me regarde pas, cette question est à débattre par les politiques et je ne suis pas un politique. Je ne suis qu’un citoyen français avec des droits et des devoirs que la constitution m’a octroyés et non pas les droits de l’homme qui bafouent la mémoire de nos anciens en profitant de la mansuétude de nos dirigeants. S’attaquer à cet islam radical, intolérant avec les femmes, avec les « infidèles » chrétiens, protestants, juifs, athées ou de toute autre religion, ces « mécréants de la pensée » ainsi qu’avec le peuple arabe que les dirigeants maintiennent dans un moyen-âge politique pour mieux les contrôler. S’attaquer à ces gens là, c’est survivre !
Internet est un formidable vecteur d’images qui charrient sur les cinq continents la sauvagerie d’une part et l’outrecuidance d’une autre. L’autre jour, une bande de fous d’Allah claironnaient à qui voulaient les entendre la parole de l’islam pur et dur en plein cœur de Londres. Devant les forces de l’ordre de sa Majesté britannique qui désiraient mettre fin à cette mascarade, les fous d’Allah se sont permis d’interdire aux « bobbies » d’intervenir sur des musulmans en éructant des menaces à plusieurs reprises : « Comment oses-tu toucher un musulman ? » Le mécréant avait osé repousser avec des gestes, pourtant, mesurés la déferlante islamique !
Je suis resté stupéfait devant mon ordinateur. La scène se déroulait en pleine journée, à Londres, capitale de la Grande Bretagne, pays occidental s’il en est ! Que les musulmans pratiquent la religion qu’ils veulent, de la façon qu’ils désirent, entourés de gens qui partagent leur croyances mais pas avec cette haine pour celui qui ne partage pas ses convictions religieuses qu’ils affublent du nom de mécréant. Pour cela, qu’ils aillent chez eux!
Grace à Dieu et, surtout grâce à la mansuétude du monde libre, cinquante sept pays arabes cohabitent sur cette terre que les nations dites civilisées prétendent d’amour et de charité où coulent le lait et le miel. Les pays colonisateurs ont laissé à ces jeunes nations des richesses insoupçonnées que les nouveaux maîtres n’ont pas sues ou pas voulues redistribuer à leurs peuples. Il n’y a qu’à voir la richesse indécente des cheiks d’Arabie pour s’apercevoir que le peuple est laissé pour « solde de tous comptes » par les rois et autres princes du pétrole. Comment un peuple aussi méprisé par ses dirigeants se laisse-t-il conduire à la mort sans se rebeller, sans émettre la moindre protestation ? Il est vrai qu’en d’autres temps et qu’en d’autres lieux, d’autres peuples ont subi même punition (quel doux euphémisme pour parler de la Shoah !) sans réagir.
Un peuple musulman qui endosse toutes les turpitudes de ses dirigeants tout au long de son histoire. Pour quel résultat ? Des pays qui restent en rade de la modernité, des hommes qui attendent le bon vouloir des autres pays pour émigrer pour une année ou pour toute une vie, une jeunesse féminine qui n’a pas son mot à dire sur un hypothétique mariage, des jeunes hommes que guettent les fous d’Allah pour les enrôler dans un combat où la mort rode, des enfants que l’on éduque dans la haine du juif et de l’Occident, seuls responsables de la misère moyen-orientale ?
Avidité ou mauvais calcul, le résultat est misérable et catastrophique. Les peuples affamés sont tenus par une adroite politique religieuse et par la crainte du bâton sans élever la moindre protestation, leur esprit étant conditionné par leur éducation qui désigne l’ennemi héréditaire : Israël. L’ennemi responsable de tous les maux, coupable d’avoir fait d’un mouchoir de poche où ne poussaient que des cailloux, un beau pays où coulent le lait et le miel tant promis par les gouvernements arabes.
Alors, ils se tournent vers l’Islam qui les conduira infailliblement au paradis d’Allah où les attendent de jeunes et belles vierges musulmanes après avoir repoussé les Israéliens jusqu’aux frontières du Moyen-Orient.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire